Mes très faibles connaissances de la langue de Shakespeare m'ont permis de traduire, mot à mot
neverland, et j'en ai conclu qu'il s'agissait du pays du jamais. Je n'ai pas vraiment été satisfaite de ma traduction car le pays dont je reviens serait plutôt celui de l'éternel, de l'immuable, de l'impérissable, le pays de toujours, celui, fabuleux, dont on m'a parlé quand j'étais petite fille, celui que je raconte à mes petits loups, celui qui peuple et peuplera encore mon imaginaire.
Si tant et tant savent décrire l'univers que je veux évoquer, celui de la féerie et de tout ce qui s'y rattache, et merveilleusement bien par exemple par
holly entre autres dans son Jiaco , d'autres personnes s'y plaisent également.
Et Neverland est devenu librairie, celle de
LAMOUSME ou encore Mélanie.Bravo à elle et bonne route !NEVERLANDJe ne dirai pas plus, je ne saurais pas puisque parfaite dilettante en la matière, et surtout parce que bien d'autres l'ont fait, il suffit d'aller, et cela en vaut la peine sur les blogs en lien, dans les textes et les commentaires, pour en découvrir le charme.
Je me suis laissée tenter, dans l'antre magique, ce qui risque de n'étonner personne de ceux qui me connaissent, par "Voyages en bohème" qui reprend des poèmes de Baudelaire, Verlaine et Rimbaud et par un conte de Claude Clément "Le luthier de Venise".
Si je vous ai fait découvrir un tout petit bout de mon voyage, je m'arrêterai là, non sans rajouter que cette visite là a également été l'occasion de chaleureuses retrouvailles et de nouvelles rencontres.
Je vous lirai dans la journée et suis bien contente de revenir vous saluer.