mon asile poetique

me présenter d'abord, parler de ceux et de ce que j'aime et partager mes textes avec ceux qui le veulent bien... et bien d'autres choses encore au gré de la fantaisie de chacun !

jeudi, janvier 18, 2007

Mots en vrac, mots de trac,
Ça coule, ça glisse
Crac !
Ça roule et s'enlise,
Puis la plume qui gratte
Comme un tic
Comme un toc.
Et l'on vide son sac !
Vers pauvres,
Verres pleins...
Que sera donc demain ?
A ta santé !
Tic, tac !
Sonnent les heures,
Mélopée ...




que votre jeudi soit serein !

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12 Comments:

At 18/1/07 11:49, Anonymous Anonyme said...

Ma pauvre Marie!!!
Serein! le temps? pour toi, il ne va pas en être ainsi.
J'ai entendu que ça va secouer pas mal sur la ligne bleue des vosges.
Accroche toi bien au bastingage.
Et si tu sors, mets une voilette pour ne pas être Dépeignée.hihihih!!
Bise (pas celle qui souffle) celle qui fait "smack!!!!". ;o)

 
At 18/1/07 12:14, Anonymous Anonyme said...

j'aime bien Vers pauvres, Verres pleins...la rime est toujours riche avec toi Mariel

 
At 18/1/07 12:29, Blogger Brigetoun said...

ben ça coule plus que ça ne gratte

 
At 18/1/07 12:42, Blogger Muse said...

Vraquons ici et grattons là
Le verre en main
Le ver en train
Pour que nos demains ici bas
Chantent la vie dans notre mas...

 
At 18/1/07 12:54, Anonymous Anonyme said...

Une plume d'oiseau blanc pour toi Marie, qui écrit des messages de paix, d'amour, et d'espoir.
Des bisous.

 
At 18/1/07 17:54, Anonymous Anonyme said...

- vincent : c'est vrai qu'il est violent le vent, mais je ne le crains pas !
- merci Gérard, même si je n'en suis pas persuadée
- brigetoun : il y a des jours aussi où ça craque !
- muse : chantons donc en choeur
- simplette : toujours aussi charmante, bisous à toi !

 
At 18/1/07 21:29, Blogger micheline said...

L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Marc Lavoine chante Guillaume Apollinaire (alcools)
* * * * *

 
At 18/1/07 21:32, Anonymous Anonyme said...

ah Micheline qu'il me fait plaisir de relire ce texte, merci !

 
At 19/1/07 07:44, Anonymous Anonyme said...

très joli texte. et j'aime cette photo pour illustrer.

 
At 20/1/07 00:29, Anonymous Anonyme said...

J'aime bien ces jolis mots remplis de fantaisies poétiques.

Marie.l sera toujours Marie, elle.

 
At 20/1/07 10:04, Anonymous Anonyme said...

Belle mélopée
Qui donne envie de chanter !

 
At 20/1/07 11:54, Anonymous Anonyme said...

Je suis "bluffé" par ta note !!!
J'aime tout ! ce poème avec cette photo, une belle symbiose !
Chapeau, ma chère Marie !

 

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