Ecrivez 6 faits aléatoires sur vous-même, puis listez 5 personnes dont vous souhaiteriez qu'elles en fassent autant.
Je réponds au défi du candidat Inocybe , tels que les faits me viennent à l'esprit et je dois dire que je le creuse, creuse péniblement
... je ne trouverai jamais 5 personnes dont j'aimerais qu'elles en fassent autant ... la patate chaude que j' ai transmise à M. le futur Président m'ayant coûté les seuls liens qu'il m'était possible de solliciter, sauf peut-être à
1 - Rom dont la situation est due surtout et notamment à l'inscription sur mon conseil d'une amie sur le site dont je parle en 2) un bel aléa ma foi !
2 - Mon inscription, sur un site de rencontres (que j'ai quitté depuis), non pas pour trouver l'âme soeur mais parce que j'y avais détecté de nombreux forums qui m'intéressaient... notamment l'un qui s'intitulait "plaisir d'écrire"... et là, par mots interposés, la découverte de Muse qui depuis est ma siamoise...et par elle, confluence marseillaise, une bande de joyeux lurons (coucou Phil, coucou Laurent, salut les filles !) et un convoi de baroudeurs en Corse l'été dernier.
3 - en 1990, lors d'un séjour paradisiaque en Espagne je me suis cassé l'humérus dans sa partie supérieure, à vouloir conduire une Vespa bien qu'allergique aux guêpes... Ne jamais mettre un tel engin entre les mains de Marie. J'avais à mon retour dû faire reporter le rendez-vous que j'avais pris depuis 2 mois chez le gynécologue. Ma mobilité retrouvée, je suis allée le voir. On se connaît bien et lorsqu'il m'a demandé si j'avais passé de bonnes vacances, ma langue a fourché : "très bonnes merci, sauf ma fracture du col de l'utérus". Le pire c'est que je ne me suis pas rendue compte de mon lapsus tout de suite, sauf à le voir s'esclaffer et là....
4 - ma profession m'a fait recevoir un moment donné des personnes et j'avais un bureau bien agencé, notamment des armoires vitrées de haut en bas. Cadre marron comme celui de la porte vitrée également et située juste à proximité. Un monsieur déjà bien âgé souhaitait un document. Au moment de repartir il cherche la sortie... avec mon plus beau sourire je la lui indique d'un geste quelque peu vague il est vrai et me replonge dans mon travail, pas pour longtemps car j'entends un patatras d'enfer : le monsieur a tenté de forcer la barrière des dossiers en voulant sortir par l'armoire (ce n'est pas lui qui est tombé fort heureusement !)
5 - Un jour j'ai écouté pendant bien 10 minutes une bavarde qui m'a raconté les derniers événements de sa vie. Elle faisait référence à des connaissances soit-disant communes. J'ai dû attendre qu'elle me dise : "et toi, toujours avec L. ?" pour pouvoir placer que je ne connaissais ni L. ni elle, ni les autres.
6 - Une histoire de gants que ma mère avait tricotés et que j'avais perdus (lui avais-je dit !), retrouvés par hasard par elle, réchauffant les mains d'une copine. J'ai dû avouer, contrite qu'en fait je les avais échangés contre un pain d'épices (là je ne sais pas si je suis dans le sujet, mais l'ai-je été avant ? maintenant je cale)
ouf !! il était temps que je termine... Je passe donc le relais à Rom et à qui d'autre le veut.
10 Comments:
Coïncidences, coïncidences, quand vous nous tenez !
A la lecture du message, deux faits quasi-identiques ...
"et là, par mots interposés, la découverte de Muse qui depuis est ma siamoise..."
... En 2004, je me suis inscrit sur Netclub. Je ne savais pas trop comment je souhaitais aborder des rencontres, restant sur le plan virtuel, pas envie de m'engager, raisons personelles.
Mon premier contact en "chat" avait pour pseudo "Muse des mots" ...
Mais je sentais l'artificiel des mots, donc cela n'est pas allé très loin.
Seconde renconre : "Cornemuse". Et là ... bingo ! Et tout un enchaînement (qui perdure aujourd'hui) fantastique (à prendre vraiment au premier degré!)
Avec "Cornemuse", nous sommes passés de Netclub sur Meetic.
Je n'y vais plus aujourd'hui.
Deuxième fait quasi-identique : vacances en Espagne avec des amis (début années 80, je crois). Vers Alicante. Calpe exactement.
Une journée, mes amis avait décidé de monter sur le "Peñôn d'Ifach", mont rocheux dans le coin de Calpe (prononcer « pé-gnione »).
Le soir, à un resto, mon ami CLaude se lève, et pour délirer nous dit : "Je vais vous interpréter le 'Roi des Aulnes' !"
Il se lève, commence à chanter avant de s'écrouler au milieu des chaises. Il avait eu un coup de soleil suite à la ballade de l'après-midi.
On le relève, le serveur entendant du bruit accourt : " - Que se passe-t-il (il parlait français)"
Mon autre ami, Jean-Claude répond : " - Ce n'est rien. Un cou de soleil, je pense. On a escaladé le pénis d'Ifach cet après-midi ...
- Pas le pénis : le Peñôn ! C'est le Peñôn d'Ifach ...
- Euh ... Oui, oui, bien sûr ! Le Peñôn ! "
... En fait, nous avions l'habitude entre nous de parler du "pénis" d'Ifach, on y faisait même plus attention !
Voilà tout.
Bonne journée.
Bien aimé le col de l'utérus fracturé moi ;-D
moi pour le 5 je me serai persuadée que je la connaissais et culpabilisé un peu de ne pas me souvenir des autres
oui bien aimé le coup de l'uterus
Simplement pour te dire merci, Mariel, de nous avoir laissé un commentaire sur notre blog. Il émane de tes photographies et de ta poésie quelque chose de magique et de singulier.
Concentration sur la sensation
Un plongeon intérieur
Je regarde par la fenêtre
Le bruit du ventilateur
Réflexion sur le mot rien
Je fais des gammes
Je passe la main aux cinq premiers qui liront ce message.
A plus..
Mon Dieu, cette étourdie, c'était peut-être moi! car ça m'est arrivé de bavarder avec qqun (2 fois) et de me rendre compte que je ne connaissais pas la personne. Mais les 2 fois, elle avait bien l'air gênée, mais n'a rien dit. C'est une situation épouvantable pour les 2 parties ..ou alors très amusante!!
Inocybe : hi hi hi !
béo : l'avez-vous fait cet interrogatoire ?
brigetoun et sborja1 : je n'ai pas culpabilisé, mais il faut dire qu'au début je n'étais pas sûre de moi !
adjaya : je veux bien prendre la main, mais je ne suis pas sûre d'avoir compris le mode d'emploi.
Regard porté en-dedans
Le grand bleu nous fait de l'oeil
Une soie froide et légère
Frôle la joue et repart
Les ondes ont pris le départ
Le vent disperse les feuilles
j'aime beaucoup ce texte Monsieur Renard et je m'�vertue �galement � lire entre les lignes...
je vais reflechir à des anectodes et tâcherai delancer le jeu autour de moi. Bisous, à bientôt
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